Illustrons une situation où la règle l’emporte sur le bon sens, principe courant chez Air Napoléon (comme ce blog le dénonce) et de façon générale quand on se préoccupe plus des barèmes que des clients… quitte à organiser l’inconfort.
Voyage Amsterdam-Vancouver : après quatre heures et demie de vol, le système vidéo affiche « le temps de vol restant est nul » et bloque la diffusion des films. Le système avait depuis le décollage régulièrement affiché que le temps restant avant l’arrivée était insuffisant pour regarder tout le film.
Le problème, c’est que Amsterdam-Vancouver, ça prend 9h50, voire un peu plus surtout quand on part en retard.
Ce qui laisse quand même plus de cinq heures pour essayer de trouver dans l’avion quelqu’un qui a vu la fin du film interrompu, pour en connaître la fin (décevante, au demeurant).
Grâce à l’initiative d’un PNC très dévoué et persévérant (merci), le système reboote un peu avant l’arrivée, juste assez pour fast forwarder et regarder le générique de fin. Mais on se demande qui a bien pu inventer un blocage qui empêche de regarder un film après la fin du vol. Personnellement, je ne reste pas dans l’avion une fois arrivé à destination, mais y-a-t-il vraiment des gens qui restent ?
Quitte à repartir dans l’autre sens pour connaître le dénouement d’une histoire ?
Je vous laisse méditer.
Votre manière de sous entendre à demi-mots que vous avez pu effectuer ce vol Amsterdam-Vancouver avec Air Napoléon est assez pathétique.