Madame B.L. Poireau,
Dans votre réponse 6204136001 à mes commentaires sur le vol 1620 pour Tel Aviv du 5 janvier, vous reproduisez des réponses standards (déjà maintes fois reçues) sur la qualité du service de restauration dont je n’ai effectivement pu « pleinement profiter » puisque je vous ai expliqué que j’achète maintenant systématiquement, et tant qu’on servira le même poisson froid sur tous vos vols de 3 heures et plus, un pic-nique avant d’embarquer dans vos avions ; et, dès lors que je me suis retrouvé au fond et entouré de bébés hurleurs, vous palabrez sur l’attribution des sièges à bord, en m’expliquant que c’est ma faute car je n’ai pas passé mon temps à me REconnecter 36 heures avant l’embarquement pour choisir mon siège dans votre interface en perpétuelle indisponibilité momentanée ou en incapacité de me proposer un choix autre qu’en dernière rangée. J’apprécie néanmoins sincèrement l’effort de personnalisation de la réponse, concentré dans les trois mots « une fois encore » : D’autre part, je suis navrée de lire une fois encore votre mécontentement concernant l’attribution de sièges à bord de nos appareils.
Cependant, ces points de débat restent annexes par rapport à ma question principale : pourquoi un tel retard au décollage, avec une attente interminable dans l’avion portes arrières ouvertes sur le tarmac un 5 janvier dans le froid à Roissy-dans-le-brouillard ? Que dire de la distribution 20 minutes plus tard de couvertures, mais en priorisant l’avant de l’avion, donc bien trop tard pour être utiles à l’arrière (où je me situais faute de passer mon temps à aller dire à votre système automatique de me placer autre-part) ? Et comment compensez-vous le retard sur ce vol, histoire de vous secouer un peu car depuis décembre, aucun des vols pris sur votre compagnie n’a été à l’heure ?
Je n’ai pas besoin de votre usuel message d’excuse d’avoir fait une erreur de réponse, mais d’actes réels de la part d’Air Napoléon pour considérer intelligemment ses passagers assidus.
Bien qu’on soit un peu condamnés à être assidus qutant que vous opérez presque 70% des vols depuis Paris…
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